Écouter un temps mort des Bleues est une invitation au voyage. On y cause de Paris-Oslo, Paris-Brest, Paris-Barça et même Paris-Comiac. Comiac et non Cognac, comme on croit l’entendre parfois. « Comiac, c’est dans le Lot, c’est le village de mon meilleur ami », explique Sébastien Gardillou. Pourtant volontiers disposé à échanger sur d’autres sujets que le hand, le sélectionneur ne verse pas dans la géographie cette fois, mais bien la tactique. Les temps morts de ce fin technicien sont un modèle de consignes précises.